TÉTRA - UN MATÉRIEL QUI POURRAIT METTRE LES CORRESPONDANTS DE NUIT EN DANGER

Le dispositif et la logistique Tétra n’est pas au point.


LES MENACES DE NOTRE HAUTE HIÉRARCHIE CE PRÉCISE SUR LES CORRESPONDANTS DE NUIT DE LA MAIRIE DE PARIS SUR L’UTILISATION DU MATÉRIEL TÉTRA

Les encadrants poussent les correspondants de nuit à prendre des risques sur le terrain en vue des élections municipales. Ces derniers sont menacés de sanctions s’ils ne prennent pas le poste émetteur/récepteur muni d’un GPS (TÉTRA).
 
Notre direction nous dit que ce sera pour notre sécurité, mais pour moi, ce serai juste pour suivre à la trace les agents de la fonction publique qui sont sur le terrain.
 
Nos collègues les plus anciens ont déjà pris peurs dans certaines bases et ils sortent déjà avec. Ces derniers ne sont pas soutenus par leur syndicat respectif, ce n’est pas le cas pour le mien.

​Le jeudi 13 mars 2014

MATÉRIEL TÉTRA OU LE RISQUE D’AGRESSION POUR LES CORRESPONDANTS DE NUIT DE LA MAIRIE DE PARIS

UNE FICTION QUI POURRAIT DEVENIR RÉELLE :



Nous sommes en maraude, quand nous recevons un appel d’un riverain qui nous demande de faire une médiation sur un groupe de 10 jeunes, ces derniers font du bruit en bas de chez lui.

Quand nous réussissons la médiation, cela s’arrête de suite, si pendant notre intervention nous entendons « Alfa 486, les I.S.V.P demande l’intervention de la police sur le hall de l’immeuble de……. ».



De plus en plus la direction de la direction Prévention Protection met en danger ses médiateurs que sont les correspondants de nuit . Ils doivent faires les missions des inspecteurs de sécurité et ils doivent portés un matériel de transmission TÉTRA qui donne des communications audibles similaires à un service de la R.A.T.P ou de la police.

Ils risquent d'être assimilés à la police par la petite délinquance, dont les vrais balances sont dans leurs propres rends, ils nous appellent des poukails pour ce couvrir eux même. Ils ne nous le disent jamais en face ou seulement doucement quand nous passons. Il existe un vieille adage « la personne qui hurle le plus fort HO VOLEUR, c’est parfois le complice ou le voleur ».

Je sais pour moi en cas d’agression, je me défendrai, mais il y aura plusieurs accusés, le ou les agresseurs et la Mairie de Paris. Je n’utiliserai pas un avocat fourni par cette administration, cet induvidu défend seulement l’intérêt de cette institution.

Mais un juge tranchera à la première agression sur le terrain sur la faute inexcusable.

Nous ne sommes pas la pour servir, car nous n'avons pas de maitre. 
Nous recevons les consignes et non des ordres.

​Il est très difficile de voir le niveau de risque quand on ait assis derrière un bureau et que l'on ne fait jamais de terrain.

Modification  le jeudi 13 mars 2014