LES CORRESPONDANTS DE NUIT ENCORE PRÉSENTS DANS LA ZONE DU JARDIN ÉOLE (18ème).

La où deux de leurs collègues ont été agressés.

La direction les renvois au charbon avec leurs équipements orales, les chaussures casses gueules ainsi que leurs blousons éponges.

Mais ne vous inquiétez pas, il reste encore dix médiateurs valides pour faire leur cinq heures de maraude par jour sous la chaleur et la pluie.

Dernière info :

Les mineurs qui ont agressés nos deux collègues ont été libérés par le juge des libertés et de la détention sans aucune condition n'y période d'éloignement.
Les renseignements qu'ils ont donnés au juge sur le quartier valent bien deux C.D.N blessés et traumatisés.

Texte du 10 juillet 2012

Du côté de la Mairie de Paris :

La procédure n'a pas été respecté suite à l'envoie du droit de retrait
Pas de registre pour y inscrire le droit de retrait
Pas d'enquête du C.H.S.
Pas de réunion extraordinaire du C.H.S suite à ces deux agressions.
Pas de vérification de l'inspecteur de travail et de la médecine du travail.
Les correspondants de nuit de la base de Stalingrad refusent de revenir dans le quartier (18 et 19ème) sans une prime de risque.

Questions :
On cherche a étouffé l'affaire ?
Les correspondants de nuit doivent-ils risqués leurs vies pour le smic ?

Côté Police :

La rapidité d'intervention suite à l'agression des deux collègues par le service de police était très longue.
A l'arrivée à l'hôpital, aucun policier n'était présent pour prendre les photos des blessures, ils ont été prises seulement par un parent d'une victime.
Seulement une faible parti des agresseurs ont été interpellés, les autres sont sans doute protégés.
Les policiers ont peur d'intervenir dans le quartier et ils préfèrent découragés les commerçants et les riverains ainsi que les touristes qui essayent de portés plaintes.

Du côté des riverains et des commerçants:

Ils soutiennent les correspondants de nuit.
Ils n'ont aucune confiance aux services de la police.
Certains ont peur et d'autres veulent déménagés.

Enfin justice a fait son travail et à bien suivie les consignes du ministère de la justice. Un des assaillant a reconnu les faits, ce dernier a été condamner à minima. Ce qui prouve que notre institution n'a rien à faire de nos deux fonctionnaires de la Mairie de Paris qui ont cette pluie de coups.

En espérant, que les autres qui seront jugés au tribunal des enfants de Paris auront moins de sympathies des juges.

 Les fonctionnaires qui étaient présents pour soutenir un collègue qui a été agressé le 1^er juillet 2012 au jardin Éole sont :

• Deux collègues de la base de Stalingrad, dont un militant C.F.D.T.
• Le chargé de mission auprès du sous-directeur de la sous-direction de la tranquillité publique.
• Le responsable de la circonscription Nord-Est.
• Un habitant du XIX^ème arrondissement de Paris.

 Par ailleurs, nous n’avons pas vues :

• De nommé au C.H.S.C.T.
• D’élu du C.T.P.
• À part un militant C.F.D.T., les autres syndicats n’ont pas envoyés de représentants syndicaux.
• D’élu de Paris.

AU 4 BOULEVARD DU PALAIS – 75001 PARIS – Métro Cité ou ST Michel (ligne 4)
Il faut arrivée une heure en avance.
 
Je viendrais soutenir mes des collègues même si je pers plusieurs heures qui ne serons pas payés et je n’aurais aucun excuse si je ne viens pas.
 
Je verrais aussi si il y a plusieurs représentants des circonscriptions et de notre Direction de la Prévention et de Protection ainsi de la Mairie de Paris qui a dut se porté partie civile.
 
Je regarderais avec attention si les concitoyens de Paris nous soutiennent.

Harcèlement journalier de la direction de la circonscription Nord-Est et de la Mairie de Paris sur les agents de la base de Stalingrad.
 
Suite à l'agression de deux correspondants de nuit au jardin Éole (18ème), les agents de la base de Stalingrad refusent d'y retournés s'en une prime de risque.
 
Déjà qu'ils sont de la catégorie C, ses smicards de la marche et de la parole. Quand ils rentrent dans leur base, ils n'ont même pas d'essuie-mains après lavage n'y de climatisation et n'y fontaine d'eau après une maraude de deux heures au soleil.
 
Les vêtements fournis pour les maraudes ne sont pas adaptés à la canicule. Ils doivent quand même marauder pour le bien des touristes et des riverains du secteur.
 
Et toujours pas de primes panier (repas) et d'entretien de la tenue, ils sont à la charge des fonctionnaires.

Une victime, âgée d'une vingtaine d'années, a été poignardée mortellement Place de la Bataille de Stalingrad en dessous du métro aérien de la station Jaurès dans la nuit de jeudi 26 au vendredi 27 juillet 2012 à 00h19.

Maintenant, nous sommes à un blessé grave et un mort par mois dans la population fréquentant ce secteur (10, 18 et 19ème) .

Nous voulons toujours la prime de risque proportionnel à la dangerosité du secteur, en attendant, nous resterons sur les quais (10 et 19ème).

LA CHAIR A CANON(1) EST TOUJOURS PRESENTE POUR LES MARAUDES.

le vendredi 27 juillet 2012
modifié le jeudi 9 août 2012

(1)
Je me souviens quand j'ai été recruter dans les Paras à 17 ans, le discours était convainquant. Après un an et trois mois au Liban (casque bleu), le juteux nous appelait de la chair à canon.
Le mots juste étaient :
« Savez-vous pourquoi, nous recrutons des jeunes comme vous ?
Nous répondons, Non !!
Par ce qu'il nous fallait dans l'armée de la chair à canon, c'est pour cela que nous prenons des jeunes aux chômages, en formation professionnelle et en dernier année de collège et c'est toujours le cas actuellement.
Vous ne réfléchissez pas et vous signés face à nos promesses que nous ne tiendrons jamais » .

Ma réponse après la fin de mon engagement face au colonel du régiment qui me demandait, si je voulais signé pour 3 à 5 ans.
« La chair à canon se barre.
Vous ferez donc le chemin à pied jusqu'à la gare (5km).
Oui et je lui fais un bras d'honneur comme 95 % des effectifs présent ce jour ».

Nous attendons de voir arrivée cette personne depuis le 2 juillet 2012, peut-être ce sera comme l'essuie mains « nous avons la promesse, nous avons vues le document de commande du 11 juin 2011, mais jamais le matériel ».

Nous sommes seulement informés par les adolescents et les jeunes adultes de la zone du jardin Éole qui viennent devant notre base et qui passent les demandes de l'avocat des auteurs des faits qui ont été interpellés « il faut qu'ils retirent leurs plaintes ».

Faut-il nous mettre en grève technique ou en arrêt maladie professionnel à cause du stress, pour qu'ont nous écoutent.

texte du 13 juillet 2012

Après plusieurs jours nous avons vues une psychologue et nous pouvons prendre des rendez-vous. Elles sont parties en vacances, la prise de rendez-vous pourra commencé en septembre 2012

Mise à jour, le 25 juillet 20123

Je vais mettre les choses au point pour les sans cerveau qui fond de la feuille de choux et les prétendus citoyens qui comparent les corresponds de nuit à des policiers ou à de la police municipale. Ils ce trompent durement, ils ont déjà réussi plusieurs médiations dans ce jardin.

Ils sont tombés sur des adolescents et des adultes qui cherchaient à leur faire du mal. Surtout qu'ils n'avaient pas la même couleur de peau qu'eux et ne venaient pas du quartier ou banlieue.

Ces deux C.D.N faisaient partis d'une équipe de quatre individus et ils étaient formés face à des lâches qui ont peurs des conséquences de leurs actes barbares maintenant.

Le ministre de l'intérieur à envoyé un fort dispositif dans cette zone ainsi que la mairie de Paris et la procédure judiciaire suis son cour.

Il y a un droit de retrait déposer pour cette zone par le représentant C.F.D.T des correspondants de nuit pour la base de Stalingrad et une demande urgente de réunion du C.H.S.C.T.

NOUS VOULONS UN SOUTIENT SPYCHOLOGIQUE D'URGENCE POUR NOS COLLEGUES AGRESSES, NOUS CRAIGNONS LE PIRE. ILS NE DORMENT PEUX OU ILS SONT REVEILLES PAR DES CAUCHEMARS, ILS ONT DES DOULEURS PAR LES COUPS RECUS, ILS MANGENT PEUX ET ILS SONT STRESSES.

Je vous remercie du soutient que tous les corps de la DPP, par des messages individuels et de groupe ainsi que des autres directions de la Mairie de Paris.
Cela ne nous fais pas oubliés nos deux collègues blessés, mais cela nous donnent de l'énergie pour continuer.

En tout, déjà trois collègues blessés pendant l'exercice de leurs fonctions dans cette base en deux mois

Texte du 4 juillet 2012 à 00h42

Ca commence par une maraude tranquille, quand les quatre correspondants de nuit arrivent au jardin Eole. Ils se rendent au niveau du terrain de foot où ils voient pendant un match, deux jeunes d'origine différentes se faire face.

Un premier frappe la face de l'autre, un troisième vient calmé les choses et se fait roué de coups. Les deux sont au sol, ils ce font roués de coup de points et pieds par plus de vingt personnes.

Les correspondants de nuit qui connaissent un bon nombres de ces jeunes, ils s'interposes et fond partir les deux agressés, un ce retourne leur disant " il y aura des représailles ".
Cela énerve les vingt jeunes qui ont été rejoints par dix de plus, ces lâches agressent deux CDN en plus pendant un autre collègue prévient les agents du jardin (ils n'agressent pas le quatrième).

Ils ont été secourus par des inspecteurs de la ville de Paris

Je ne peu pas en dire plus pour des raisons d'enquête.
Je ne peu pas dire l'origine ou la race des assaillants et des blessés, il risquerait d'avoir une guerre ethnique dans le quartier avec les habitants d'ile-de-France.

Nous pouvons nous pausé plusieurs questions :

Pourquoi la police n'est pas intervenue pendant les faits et n'a pas fait de constatation sur les personnes blessées à l'hôpital ?

Pourquoi la direction de la DPP n'a-t-elle pas soutenue moralement ses agents blessés au lieu de leur lancés une blague ?

Que va faire le ministère de l'intérieur de plus pour ne pas perdre la face dans ce quartier " rues Aubervilliers, Paul Laurent, Tanger, Département, Caillé et passage Goix (18 et 19ème)" ?

Notre réponse :

Nous demandons une prime de risque de 100 € par mois par agents de la DPP qui travail dans cette zone.

Texte du 1er juillet 2012 à 23h39