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AU BOUT DE 2 ANS ET 1 MOIS J’AI ENFIN MES CHAUSSURES BASSES ET SOUPLES.
Après deux ans et un mois où je ne pouvais pas sortir car je n’avais pas mes chaussures basses et souples, car ma hiérarchie et ma direction me sanctionnaient tous les ans dans l’ombre et secrètement (voir l’article ci-dessous). Quand on a des convictions comme moi, on va jusqu’au bout.
C’est peut-être mon passage dans les paras ou mon éducation ou mes années à étudier les arts martiaux ou c’est l’ensemble. Mais je ne suis aperçu que d’autres ont pu avoir aussi leurs paires de chaussures basses et souples.
Qu’on fait les syndicats ?
Rien comme d’habitude, il suffit de voir les comptes rendus du C.H.S.C.T et du C.T sur 2 ans et demi (pour ceux qui ont envies de lires).
Texte du lundi 1er octobre 2018
DÉJÀ FONCTIONNAIRE DEPUIS 7 ANS 2 MOIS ET CELA NE S’ARRANGE TOUJOURS PAS.
En générale :
Les conditions de travail sont toujours aussi déplorable, pas de plan de prévention sur le secteur, ni de mise en conformité des locaux. Les collègues et moi-même ont été obligés d’acheter des chauffages pour ne pas mourir de froid cette hiver. Pourtant nous avons un élu du comité technique du syndicat S.U.P.A.P-F.S.U dans notre base « Le fantôme ».
Ma santé se dégrade de semaine en semaine depuis que je me suis fait vacciné de la grippe et au froid dans la base ainsi qu’au harcèlement que je subis tous les jours où je travail. Depuis septembre 2016, je suis toujours en attente de mes chaussures basses et souples pour pouvoir marauder, mais j’ai eu une réponse d’une sous directrice en 2017 « nous n’avons pas les moyens de vous les achetez » (6 milliards par an).
Cela me force à aller au T.G.I de Paris pour mise en danger et harcèlement moral :
- Suppression des heures supplémentaires.
- Suppression de mes jours fériés depuis septembre 2016.
- Modification de mon planning au dernier moment, ce qui m’empêche d’avoir un suivie médicale car les visites se font avec des rendez-vous pris trois semaines avant.
- Sanctions répétés quand je dénonce les conditions de travail et quand ma hiérarchie me demande de sortir sans mes chaussures.
- Inscription a des formations que je ne veux pas, pendant que ceux que je demande n’aboutissent pas.
- Reclassement qui ne viennent pas, alors que je pause ma candidature.
- Quand je m’inscris à un concours à une catégorie supérieur, elle est rejetée d’office.
Côté recrutement :
Le recrutement des anciens hauts fonctionnaires des ministères du gouvernement Hollande sont enfin fini, sauf ceux qui sont passés à la République en Marche. Pour notre base, nous allons avoir trois nouveaux stagiaires le 29 juin 2018.
Au niveau de la promotion par le travail :
Il ne faut pas attendre que le bon travail paye, de respecter le code du travail et les lois. La promotion c’est pour celui qui participe à la corruption pour quelques centimes d’euros, qui ne respecte pas les règlements d’emplois des agents de base.
Nous avons aussi les promotions pour les pervers (arceleurs sexuelles, vicieux, sadiques, etc...) avec de faux concours, alors que les fonctionnaires qui les dénonces finissent par être envoyer sous d'autres cieux (circonscriptions et bases). Les stagiaires (mineurs ou majeures) non pas cette chance, si elles et ils se thèses ou parlent, je vous laisse deviné la suite.
Vous savez dans un système où on n’est pas promus pour ses compétences, cela engendre des disfonctionnements graves et parfois jusqu’à la destruction de celui-ci (exemples : les empires grecque, romain et napoléonien).
Je pourrais aller plus loin, mais il faut se rappeler que dans la ville pour qui vous travaillez, fonctionne presque toujours par le clientélisme et les passes droits.
Au niveau du C.H.S.C.T :
La direction et ces hauts fonctionnaires bloquent tout avancé sur le Comité d’Hygiène, sécurité et des conditions de travail. Ces derniers vont même jusqu’à ne pas améliorer les conditions de travail et pour cela j’ai plusieurs exemples :
- Pour les correspondants de nuit, sur le Document Unique, avant 2011 «patrouille de quatre à trois agents » et après 2012 « Patrouille au dimensionnement adapté au risque » ce veut dire à deux même en Zone de Sécurité Prioritaire (Z.S.P).
- Aucune amélioration sur l’évaluation des risques quand une équipe va sur une mission où un secteur, je dirai même qu’aucune évaluation n’est faite.
- Le classeur de consigne n’existe pas dans les bases pour couvrir les T.T.P.S, les responsables de circonscriptions, les sous directeurs et le directeur.
- Qu’il y a un attentat, des coups de feu, des collègues frappés, le gel, la neige, la pluie, un ouragan, le vent, de la pollution dans l’air, il faut sortir.
- Quand il y a des rixes avec armes (couteaux, barres de fer, katanas, etc.) ce sont les correspondants de nuit qu’ont envois en premier et sans évaluation des risques
- Quand un maire d’arrondissement demande une intervention hors secteur au responsable de circonscription, la réponse ne se fait pas attendre, OUI.
Au niveau de la tenue de travail :
Pour les chaussures de sécurité incendie que nous devons portés, les agents préfèrent ne pas les chaussées, sauf pour avoir un accident de travail quand il pleut ou il neige. Nous avons deux paires tous les deux ans, une pour l’été et une pour l’hiver.
Les pantalons pour l’hiver et les bermudas pour l’été sont à nos frais ainsi que le nettoyage de toute la tenue (du blouson, du pull, des polos et des t-shirts).
Au niveau des locaux où nous travaillons :
À part les locaux du 1 place Baudoyer (75004 Paris) qui ont rénovés récemment, la plupart des bases des corresponds de nuit n’ont pas été rénovés sérieusement comme la nôtre.
Selon les dires de l’adjointe charger de la sécurité (Mme. Myriam El Khomri) au maire de Paris, 100 000 € aurait été dépensé en 2011. Cet argent n’a pas été dépensé sur les fenêtres, sur les portes, sur le chauffage, sur l’isolation dans la base et l’enlèvement des cadavres de souris qui se momifient à l’intérieur des faux plafonds.
En hiver, dans les deux douches et les deux toilettes, quand la température extérieure est de -6 il est temps de prendre sa douche avec un équipement de plongé pour lac gelé et d’aller aux toilettes en pull avec un cache-nez ou une écharpe.
Au niveau de la laïcité :
Malgré que le prosélytisme soit interdit dans la fonction publique, nous avons des collègues qui prient dans les vestiaires des bases et les circonscriptions. Nous avons ainsi après les réunions syndicales des militants de tous syndicats qui font de même, parfois des personnes de l’extérieur.
Côté syndicats de cette direction de la mairie de Paris :
Rien n’est fait pour dénoncer les faits ci-dessus, pas de dossier déposé à l’inspection du travail et devant les tribunaux (T.A, T.I et T.G.I), ni d’action revendicative publique.
Par ailleurs, nous avons vus que certains élus de l’élection professionnelle de décembre 2014 ont été promus les années suivantes (de 2015 à 2018).
Comme les syndicalistes du privé le disent, cela est fait pour apporter la paie syndicale au sein de notre entreprise et se sont les travailleurs qui trinques.
Texte du samedi 10 juin 2018
Paragraphe 3
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Paragraphe 4
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MISE À JOUR
lundi 31 décembre 2018